Actuellement, il n’y a pas d’épidémie de ces maladies en France métropolitaine mais, pour lutter contre ce risque, quelques gestes simples sont à adopter.

Comment se débarrasser du moustique tigre : les bons gestes

Agir pour supprimer le moustique tigre

Chaque femelle moustique tigre pond environ 200 œufs. Au contact de l’eau, ils donnent des larves. C’est là qu’il faut agir.

• Éliminez les endroits où les larves de moustique peuvent se former : regard de descente d’eau pluviale, récupérateur d’eau, terrasse sur plots mais aussi les coupelles des pots de fleurs, arrosoirs…
• Couvrez les réservoirs d’eau : bidons d’eau, citernes, bassins avec un voile ou un simple tissu ainsi que les piscines hors d’usage.

Éviter les piqûres

• Appliquez sur la peau des produits anti-moustiques surtout en journée. Demandez conseil à votre pharmacien ou médecin.
• Portez des vêtements couvrants et amples.

Participer à la surveillance du moustique tigre

Sachez reconnaître le moustique tigre

• C’est un moustique : il a donc deux ailes, une paire d’antennes longues et une trompe dans le prolongement de la tête.
• Il a des rayures noires et blanches (pas de jaune), sur le corps et les pattes,
• Il est très petit, environ 5mm,
• Il est source de nuisance et pique le jour. Sa piqûre est douloureuse.
• Il ne se déplace que dans un rayon de 150 m maximum : celui qui vous pique est donc né chez vous ou dans votre proche environnement

Signaler sa présence

Vous pensez avoir vu un moustique tigre ?

Vous pouvez signaler sa présence à l’aide de notre formulaire en ligne, idéalement en y joignant une photo.

Attention, tout ce qui vole n’est pas moustique et tout moustique n’est pas un moustique tigre !

Qui peut agir directement contre les moustiques ? 

Seule l’Agence Régionale de Santé ( ARS) peut intervenir contre les moustiques adultes exclusivement autour des cas humains signalés de dengue Zyka, chikungunya par des interventions ciblées dans un rayon de 150 mètres (environ 7 hectares) dans le but d’éviter toute transmission autochtone.

Plus d’infos sur le site web de l’Agence Régionale de Santé de Nouvelle-Aquitaine